Le financement participatif est un investissement qui nécessite l’intervention de la foule. C’est une sorte d’outil qui fait appel à un grand nombre de personnes, l’objectif est de financer un projet. Le financement participatif diffère du financement classique aux banques, il s’agit d’un financement par des particuliers. La personne peut choisir si il veut contribuer ou pas à un projet. Normalement, les offres de financement sont affichées sur une sorte de plateformes ou sur une toile. On peut avoir des informations sur le sujet du projet et les internautes peuvent choisir où ils veulent investir. L’internaute peut alors sélectionner le projet et placer son argent.
Quels sont les risques du financement participatif ?
Depuis quelques années, on remarque la multiplication des plateformes sur le financement participatif. Le financement participatif est destiné aux grands publics, et chaque plateforme doit avoir un statut réglementé. Certaines organisations affirment que faire du crowfunding peut représenter des risques spécifiques. Tout d’abord, il y a la possibilité de perte. Une partie ou tout le capital prêté est remis en jeu, surtout si l’entreprise émettrice reçoit des difficultés qui sont imprévus au cours du projet. La valeur de cession de titres non cotés est difficile à connaître. Il est donc très difficile de les céder, même avec une durée de détention recommandée et même avec une souscription. Les fonds doivent être déposés dans un grand établissement (qui peut être contrôlé ou pas). Sachez qu’il existe un risque de détournement de l’argent lors des paiements par l’intermédiaire des plateformes. Il n’y a pas de garantie pour l’affectation des fonds collectés sur un projet connu. Certains experts affirment qu’il faut créer un statut de courtier en financement participatif qui renforce les obligations dans les plateformes pour les internautes, tous cela pour limiter les risques d’arnaque pour les investisseurs. Pour plus d’informations sur les financements participatif, veuillez visiter les sites spécialisés ou cliquez sur homunity.com.
Quels sont les différents types de financement participatif ?
En général, il existe quatre types de financement participatif. Le don est un financement de projet qui peut tenir l’internaute à cœur, c’est à dire que l’investisseur soutient le projet sans rien attendre en retour. Par exemple, pour un projet associatif d’un entourage, l’internaute offre 50 euros pour sa réalisation. La satisfaction de l’investisseur est la réalisation du projet. La récompense est un financement sur un projet high-tech. Vous investissez sur le projet pour bénéficier du produit lors de sa sortie. Il est possible de commander à l’avance le produit sur l’Internet, le but est de financer le développement du produit afin d’obtenir le produit en premier. Le prêt est un financement participatif basé sur un commerçant qui a besoin de financement sur son stock. Il peut demander le financement et continuer son activité en toute sécurité. Le particulier peut bénéficier d’un rendement comme un placement classique. Le prêt donne une part de responsabilité à un projet où chacun est libre de choisir ses choix. L’investissement est un financement participatif qui invite l’internaute à participer à un projet. Il faut mettre des fonds, ces fonds sont placés selon les choix de l’investisseur. Par exemple, on peut investir dans une startup qui a pour but d’augmenter le capital ou on peut placer de l’argent dans le secteur de l’immobilier.
Quels sont les règles sur le financement participatif ?
Il existe un site sur les projets d’investissement comme la banque publique d’investissement ou BIP. Il propose des services pour mettre en relation les investisseurs aux différents projets existent. Le crowdfunding concerne plusieurs domaines comme le social, l’économie, l’environnement et le domaine culturel. Les internautes répondent à des offres de dons, de prêt, d’investissement et de récompense aux projets. Les financements participatifs sont immatriculés dans un registre. Ils doivent se souscrire à une assurance de responsabilité civile professionnelle. L’investissement peut être fait par des petites et moyenne entreprise (ou PME) non cotées. Pour être une plateforme réglementé, il faut se souscrire à divers organisation comme l’Orias, les CPI (ou conseillers en investissements participatif) ou avoir une agrégation de l’ACPR comme étant un prestataire de service d’investissement. Il existe de nombreuses plateformes participatives, il suffit de trouver celle qui est intéressant. Faites attentions aux arnaqueurs, car malgré les mesures de sécurité, les arnaques sont nombreux.